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C’est ce qui se ressort d’une analyse réalisée par le professeur Pascal Sirois de l’Université du Québec à Chicoutimi. Le scientifique répondait à une question soulevée il y a trois ans alors que l’Association de protection du lac Kénogami, ainsi que certains conseillers municipaux de Saguenay, avançaient que la récolte forestière menaçait la principale source d’approvisionnement en eau de la ville.

L’équipe de chercheurs de l’UQAC a réussi à établir une formule afin de déterminer des critères qui permettent d’établir si des coupes forestières peuvent avoir un impact sur les variations des différentes composantes chimiques que l’on retrouve dans les lacs.